Résultat de l’API de MediaWiki

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                        "*": "[[Category:linux]]\n\n=Pr\u00e9sentation=\n\nRsync est un outil disponible sur tous les unix, parfois en option, parfois install\u00e9 par d\u00e9faut. Il sert \u00e0 synchroniser des fichiers ou des r\u00e9pertoires, en local, ou entre machines distantes. Il permet de ne mettre \u00e0 jour que ce qui a chang\u00e9, pour \u00e9conomiser du temps et de la bande passante (pour cel\u00e0, il se base sur la taille et sur la date de derni\u00e8re modification). Par exemple, on a une machine A qui contient un r\u00e9pertoire REP avec des fichiers et des sous-r\u00e9pertoires. Lorsqu'on fait un rsync de REP de la machine A vers la machine B, au premier rsync il va tout copier. Et quand on va relancer rsync, il va prendre un peu de temps pour regarder ce qui a chang\u00e9, et ne va synchroniser que ce qui en a besoin. C'est donc une solution de sauvegarde tr\u00e8s pratique.\n\nRsync dispose d'un grand nombre d'options, qui permettent \u00e9norm\u00e9ment de souplesse. On peut par exemple conserver les droits ou non, supprimer sur la cible les fichiers qui n'existent plus sur la source, compresser les donn\u00e9es pendant le transfert, passer par un tunnel ssh, etc. On peut \u00e9galement mettre en place un serveur rsync, mais je n'aborderai pas ce sujet ici. La page man de rsync donne tous les d\u00e9tails.\n\n=Syntaxe et principales options=\n\nLa syntaxe de rsync est de la forme :\n\n rsync -options /repertoire_source /repertoire_destination\n\nExemple :\n\n rsync -avz -e ssh --delete /home/fred/data/ fred@serveur:/backup/fred/\n\nRemarque : le \"/\" \u00e0 la fin du nom des r\u00e9pertoires permet de ne pas prendre le r\u00e9pertoire lui-m\u00eame, mais uniquement son contenu. Pour prendre \u00e9galement le r\u00e9pertoire, il suffit d'enlever le \"/\".\n\nToutes les options sont disponibles dans la page man de rsync. Celles qui me paraissent les plus int\u00e9ressantes sont rassembl\u00e9es dans le tableau ci-dessous.\n\n{|class=\"wikitable alternance centre\"\n |-\n | -a || mode archive (\u00e9quivalent des options rlptgoD) : r\u00e9cursif, les liens symboliques restent des liens symboliques, pr\u00e9serve les permissions, pr\u00e9serve les dates de modification et pr\u00e9serve les fichiers sp\u00e9ciaux.\n |-\n | -v || verbose : mode bavard\n |-\n | -z || compresse les donn\u00e9es pendant le transfert\n |-\n | -P || affiche la progression du transfert (si on met aussi -v) et permet de reprendre le transfert de fichiers partiellement transmis\n |-\n | -e ssh || passe par un tunnel ssh\n |-\n | --delete || les fichiers qui n'existent plus sur la machine source seront \u00e9galement supprim\u00e9s sur la machine cible\n |-\n | -r (inclu dans -a) || r\u00e9cursif (parcours les sous-r\u00e9pertoires)\n |-\n | -p (inclu dans -a) || conserve les permissions des fichiers\n |-\n | -t (inclu dans -a) || conserve les dates de modification\n |-\n | -c || la comparaison est bas\u00e9e sur un checksum plut\u00f4t que sur la taille et la date de modif des fichiers\n |-\n | --exclude=\"*texte*\" || exclue tous et les fichiers et r\u00e9pertoires contenant \"texte\"\n |}\n\n=Les pi\u00e8ges=\n\nPour fonctionner, rsync a besoin d'\u00eatre install\u00e9 sur les deux machines qui communiquent. Et surtout, il a besoin d'avoir le m\u00eame chemin absolu sur les deux machines ! Pour deux linux, \u00e7a ne posera probablement pas de probl\u00e8me, mais d'un linux \u00e0 un autre unix, \u00e7a peut poser probl\u00e8me. Par exemple, sur Mandriva, le nom absolu de rsync est \"/usr/bin/rsync\", mais sur Solaris, c'est \"/usr/local/bin/rsync\".\n\nSi on est dans ce cas, la communication va se faire entre les deux machines, puis elles vont se d\u00e9connecter aussit\u00f4t, avec un message du type :\n\n rsync: connection unexpectedly closed (0 bytes received so far) [receiver] \t\t\t\n rsync error: error in rsync protocol data stream (code 12) at io.c(635) [receiver=3.0.2]\n\nLa r\u00e9solution de ce probl\u00e8me est en fait extr\u00eament simple. Il suffit de faire des liens de la commande avec le nom de l'autre machine. Pour l'exemple pr\u00e9c\u00e9dent, sur la machine Mandriva, on tapera \"ln -s /usr/bin/rsync /usr/local/bin/rsync\", et sur la machine Solaris \"ln -s /usr/local/bin/rsync /usr/bin/rsync\".\n\n=rsync sous Windows=\n\nPour utiliser rsync sous Windows (en ligne de commande, comme sous unix), il faut r\u00e9cup\u00e9rer les trois fichiers suivants, et les mettre dans \"C:\\Windows\\system32\".\n\n* [http://www.unixmaniax.fr/download/rsync_win/rsync.exe rsync.exe]\n* [http://www.unixmaniax.fr/download/rsync_win/cygpath.exe cygpath.exe]\n* [http://www.unixmaniax.fr/download/rsync_win/cygwin1.dll cygwin1.dll]\n\n \n\nEnsuite, le principe est exactement le m\u00eame et les options sont identiques. La seule diff\u00e9rence se situe au niveau de la syntaxe des noms de r\u00e9pertoires. En effet, le lecteur \"C:\" se notera \"/cygdrive/c/\" et \"D:\\data\\\" se notera \"/cygdrive/d/data/\".\n\nSi vous n'avez pas besoin des commandes en mode texte, vous pouvez alors vous tourner vers une application graphique comme [http://www.clubic.com/telecharger-fiche11843-syncback.html SyncBack]."
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                        "*": "[[Category:solaris]]\n\nAttention, ce qui suit n'est plus valable \u00e0 partir de Solaris 11.\n\n=G\u00e9n\u00e9ralit\u00e9s=\n\nAttention, ce qui suit n'est plus valable \u00e0 partir de Solaris 11.\n\nLes interfaces r\u00e9seau sont nomm\u00e9es \u00e0 la mode BSD, c'est-\u00e0-dire avec le nom du pilote suivi d'un num\u00e9ro, et pas \u00e0 la mode linux avec \"eth\" et un num\u00e9ro. Exemples : bge0, ce2.\n\nSur du mat\u00e9riel Sparc, les diff\u00e9rentes cartes r\u00e9seau peuvent avoir chacune leur adresse mac ou toutes l'adresse mac du serveur. La valeur est visible et modifiable dans l'OBP (faire un grep sur le mot cl\u00e9 \"mac\").\n\nPour voir la liste des interfaces r\u00e9seau configur\u00e9es, taper '''ifconfig \u2013a'''.\n\nPour activer toutes les interfaces, taper '''ifconfig \u2013a plumb'''.\n\nPour afficher des informations sur les interfaces r\u00e9seau :\n\n* solaris 10 : '''dladm show-dev'''\n* solaris <10 : '''kstat eri:0''' (pour l'interface eri0)\n\n\nPour surveiller le r\u00e9seau : utiliser le programme '''snoop'''.\n\n \n=Fichiers de configuration=\n\nSi sendmail est install\u00e9 (ce qui est le cas par d\u00e9faut), il faut modifier une ligne dans '''/etc/hosts''' : sur la ligne qui contient le hostname, il faut rajouter le hostname imm\u00e9diatement suivi d'un \".\" et \u00e9ventuellement du nom de domaine. Sinon, sendmail va afficher r\u00e9guli\u00e8rement des alertes. Exemple :\n\n bash-3.00# cat /etc/hosts\n #\n # Internet host table\n #\n ::1     localhost       \n 127.0.0.1       localhost       \n 10.36.209.192   uirgs48 uirgs48. loghost\n\nLes principaux fichiers de configuration sont :\n\n* les classiques /etc/hosts, /etc/resolv.conf et /etc/nsswitch.conf\n* /etc/hostname.nom-interface : nom ou ip de l'interface\n* /etc/nodename : contient le hostname principal, s'il y en a plusieurs\n* /etc/gateways : liste des passerelles\n* /etc/defaultrouter : passerelle principale\n* /etc/inet/hosts : /etc/hosts est un lien vers ce fichier\n* /etc/inet/ipnodes : lien vers /etc/inet/hosts\n* /etc/net/*/hosts : obsol\u00e8te en solaris 10\n\n\nPour passer l'interface pcn0 en DHCP, taper : '''touch /etc/dhcp.pcn0'''\n\nPour afficher les routes : '''netstat \u2013r'''\n\n \n=Configurer la passerelle=\n\n* Temporairement :\n\n route add default 10.0.0.1\n\n* Persistant au reboot (le fichier n'existe pas au d\u00e9part) :\n\n echo \"10.0.0.1\" > /etc/defaultrouter\n\n \n=Configurer le ntp=\n\n echo \"ntp.free.fr\" > /etc/inet/ntp.conf\n\nPuis (re-)d\u00e9marrer le service ntp.\n\nPour v\u00e9rifier la synchronisation :\n\n ntpq \u2013c peers\n\n \n=Forcer la vitesse des interfaces r\u00e9seau (speed + duplex)=\n\nSuivant le mod\u00e8le de carte r\u00e9seau, la configuration et la lecture des informations de l'interface vont \u00eatre l\u00e9g\u00e8rement diff\u00e9rents.\n\nDans certains cas, la configuration se fait directement sur l'interface. Par exemple, bge0, bge1, etc.\n\nDans les autres cas, le mode et la vitesse ne se configurent pas pour une interface, mais pour un pilote. Par exemple, si on fait une modification sur hme0, \u00e7a impactera toutes les cartes qui utilisent le pilote hme, mais pas les autres.\n\nQuelques commandes utiles :\n\n==R\u00e9cup\u00e9rer le nom du pilote de la carte r\u00e9seau==\n\n ifconfig -a    # (par exemple, pour la carte \"hme0\", le pilote est \"hme\")\n\n\n==Voir la vitesse==\n\n ndd -get /dev/hme link_speed\n\nR\u00e9sultats possibles :\n\n* 1=100M, 0=10M\n* 1000=1G, 100=100M, 10=10M\n* 1000=1G, 1=100M, 0=10M\n\n\n==Voir le mode==\n\n ndd -get /dev/hme link_mode\n\nou (suivant la version de Solaris)\n\n ndd \u2013get /dev/bge0 link_duplex\n\nR\u00e9sultats possibles :\n\n* link_mode : 1=Full, 0=Half,  *=Error\n* link_duplex : 2=Full, 1=Half, 0=Unknown, *=Error\n\n\n==Voir l'\u00e9tat==\n\n ndd -get /dev/hme link_status\n\nR\u00e9sultats possibles :\n\n* 1=Up, 0=Down\n\n \n==Voir la liste des infos qu'on peut r\u00e9cup\u00e9rer==\n\n ndd -get /dev/hme \\?\n\n\n==D\u00e9sactiver l'auto-n\u00e9gociation==\n\n ndd -set /dev/hme adv_autoneg_cap 0    # (mettre un \"1\" pour l'activer)\n\n\n==Forcer en 100M/Full==\n\n ndd -set /dev/hme adv_100fdx_cap 1     # (n\u00e9cessite que l'autoneg soit \u00e0 0)\n\n\nPour que les modifications restent actives apr\u00e8s reboot, il faut modifier le fichier '''/etc/system'''. Par exemple, pour forcer en 100M/Full apr\u00e8s reboot, ajoutez les lignes suivantes \u00e0 '''/etc/system''' :\n\n set hme:hme_adv_autoneg_cap=0\n set hme:hme_adv_100fdx_cap=1\n\nDepuis solaris 10, une commande affiche les valeurs des interfaces de fa\u00e7on plus claire :\n\n # dladm show-dev\n bge0            liaison : up    vitesse : 1000  Mbit/s  duplex : full\n bge1            liaison : unknown       vitesse : 0     Mbit/s  duplex : unknown\n\n\n=IPMP=\n\nL'IPMP (IP network MultiPathing) est une mani\u00e8re d'agr\u00e9ger les interfaces r\u00e9seau pour faire de la r\u00e9partition de charge et de la tol\u00e9rance de pannes.\n\nNous allons suivre un exemple pour configurer l'IPMP sur un Solaris 10. On suppose qu'on a deux interfaces r\u00e9seau : vnet0 qui est d\u00e9j\u00e0 configur\u00e9e et fonctionnelle et vnet1 c\u00e2bl\u00e9e mais non utilis\u00e9e.\n\nOn va \u00e9diter '''/etc/hostname.vnet0''' pour avoir quelque-chose qui ressemble \u00e0 \u00e7a :\n\n mon_hostname netmask + broadcast + group ipmp0 up\n\nRemarques :\n* mon_hostname doit \u00eatre remplac\u00e9 par le hostname du serveur\n* les mots \"netmask + broadcast + group\" sont des mots cl\u00e9s qui ne doivent pas \u00eatre remplac\u00e9s. Il faut bien mettre des espaces entre les mots et les \"+\"\n* le mot \"ipmp0\" est le nom qu'on donne \u00e0 notre groupe d'interfaces. On peu mettre le nom qu'on veut, mais il est conseill\u00e9 de mettre un nom clair\n\nMaintenant on \u00e9dite '''/etc/hostname.vnet1''' :\n\n group ipmp0 up\n\nRemarques :\n* \"group\" est un mot cl\u00e9, il ne faut pas le changer\n* \"ipmp0\" est le nom du groupe qu'on a d\u00e9fini juste avant. A remplacer par le nom que vous avez mis.\n\nSi vous avez d'autres interfaces r\u00e9seau, vous pouvez les ajouter en reproduisant ce qu'on a fait pour vnet1.\n\nCe qu'on vient de faire ne sera pris en compte qu'au prochain reboot. Si possible, je vous conseille de rebooter pour \u00eatre s\u00fbr que tout fonctionne bien et qu'on n'aura pas de mauvaise surprise. Sinon, on peut faire la manip \u00e0 chaud avec les commandes suivantes (\u00e0 adapter en fonction de ce qu'on a fait avant) :\n\n ifconfig vnet0 192.168.0.1 netmask 255.255.255.0 group ipmp0 up\n ifconfig vnet1 plumb\n ifconfig vnet1 group ipmp0 up\n\nVoil\u00e0 ce que \u00e7a donne une fois en place :\n\n # ifconfig vnet0\n vnet0: flags=1000843<UP,BROADCAST,RUNNING,MULTICAST,IPv4> mtu 1500 index 2\n         inet 10.36.208.90 netmask fffffc00 broadcast 10.36.211.255\n         groupname ipmp0\n         ether 0:14:4f:f9:2a:45\n \n # ifconfig vnet1\n vnet1: flags=1000843<UP,BROADCAST,RUNNING,MULTICAST,IPv4> mtu 1500 index 3\n         inet 0.0.0.0 netmask ff000000 broadcast 0.255.255.255\n         groupname ipmp0\n         ether 0:14:4f:fb:6f:6f"
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